Alicia et Beth ont été sauvées par une guerrière de l'organisation qui a plus d'un tour dans son sac : elle est suivie d'une horde de dévoreuses d'abyssaux qui suivent l'odeur de leur cible à la trace. Devant Riful, exaltée, les dévoreuses font leur travail : elles attaquent en masse. Les attaques de parasitismes créées par Riful ont un effet complètement inverse sur ces créatures, qui voient leurs limitations retirées. Pendant ce temps, Hélène et Denève sauvent Claire des griffes de Priscilla, elle-même la cible de la fusion entre les corps de Raphaëlle et de Lucielle, les deux premiers numéros de l'organisation. La chose monstrueuse qui en nait se met à frapper sans discernement. Priscilla retrouve alors une partie de ses esprits, et s'excalte à son tour pour affronter ses adversaires avec toute sa force.
Voici le tome 19. J'espère qu'il vous plaira.
Non, je déconne. Mais disons que ce commentaire de l'auteur, le même depuis une quinzaine de volumes si ma mémoire est bonne, est toujours une bonne source d'humour à chaque fois que j'ouvre un volume de Claymore. Pour la suite, ça se gâte. Ce volume n'en fait d'ailleurs pas exception. Trop de protagonistes, trop de combats, trop flou... Voilà quelques numéros déjà que l'histoire tourne carrément en rond, sans que l'on voit exactement où se trouve l'objectif final. Il manque un sérieux éclaircissement dans la trame, et ce depuis le retour des guerrière qui ont été laissées pour mortes à Pieta. Il y a trop de non-dit, et le but des guerrières en noir n'est pas clairement défini. En tout cas, leurs actes ne sont pas en adéquation avec le fait de faire tomber l'organisation.
Bref, cette série devient une éternelle chimère... comme le personnage de Miria dans la fin de ce présent volume. Il est temps de lever le voile, et ce au plus vite. Les scènes de combat, cest bien. Mais sans but, elles sont inutiles.