Nai comprend que sa quête de son ami Karoku le met en danger, mais heureusement il sait que Gareki est toujours là pour l'aider : sa présence le soutient dans sa quête, et dans son être. Pourtant, un songe le met en garde du danger qu'il représe pour Gareki... et il en déduit qu'il faut le repousser, pour éviter de lui faire du mal. À son chevet, le médecin de Circus, celui qu'on appelle Praticien, est assez troublé par Nai, au point que Hirato décide de prévenir le commandant Tsukitachi de la première section de Circus, pour faire des analyse plus poussées : Nai n'est pas un humain, mais un animal !
Bon, si des humains peuvent devenir des monstres, on pourrait penser qu'il est faisable qu'un animal soit transformé en humain non ? Et donc que Nai serait le fruit des recherches du dénommé Karoku, mais dans un but bien peu clair aux yeux des membres de Circus. Rajoutons le fait que les monstres semblent justement viser le jeune Nai pour une raison inconnue. Tout cela reste donc bien confus, et le sentimentalisme n'est pas plus élucidé que dans le premier opus.
Décidément, je n'accroche pas à cette histoire plus fantasque que fantastique. Il me manque les raisons profondes du fil conducteur pour me rendre la lecture plus intéressée. Pourtant, ce n'est pas faute d'action ou de révélations. Je ne dois juste pas être touché par l'histoire en tant que telle.