Dame Chibo et sa servante Kaede sont désormais considérées comme des criminelles. Blessée, Chibo a bien du mal à se remettre de sa rencontre avec la samourai. Mais ce temps de repos est l'occasion pour les deux femmes de discuter de tout ce qui leur est arrivé jusqu'à présent, notamment de labsorption des poitrines des adversaires de Chibo. Quand cela a-t-il commencé ? Comment rendre la poitrine à ces femmes ?
Une fois n'est pas coutume, ce troisième opus de La paire et le sabre s'avère plus sérieux que les précédents, avec un entrainement digne des moines les plus endurants à suivre, et maints retours dans le passé pour mieux comprendre le contexte du Clan Manyû duquel est issu Chibo. Et, il faut le dire, c'était intéressant, nonobstant le recours permanent aux desseins de poitrines féminines bien sûr.
L'histoire va-t-elle continuer à prendre de l'ampleur dans La paire et le sabre ? Cela serait une nouvelle fort agréable, qui pourrait même continuer à me réconcilier avec le titre. C'est bon signe.