L'engouement mondial pour les toupies Beyblades a créé un tournoi mondial. Qui est donc le meilleur blader au monde ? Pour le savoir, chaque pays participant a formé une équipe de ses deux meilleurs éléments. Pour le Japon, c'est la paire Gingka - Masamune qui a remporté le tournoi national (organisé quelques mois après celui de Ryuga). Pour le premier match, les japonais se rendent en Chine où ils affrontent l'équipe de la Zang Hu Zhong, un corps d'élite au sein de l'Empire du milieu. À leur tête, Dashan Wang, un garçon qui ne reconnait jamais la défaite et qui n'accepte aucun perdant autour de lui. Au contraire, Gingka estime qu'on apprend de ses défaites... et il va le prouver dans le coliseum, à l'aide de sa fameuse toupie, Pegasus. Mais Dashan Wang possède Rock Zarafa, dont l'axe de rotation repousse toutes les attaques...
Effectivement, après la nation, le monde ! Néanmoins, le tout a un côté plus bon enfant que lors du tournoi opposant en finale L-Draco à Pegasus, où là l'enjeu semblait plus être une question de survie (si si, les toupies peuvent sauver ou détruire le monde, c'est Takafumi Adachi qui le dit !). Cette fois, ce sont les sentiments des différents bladers qui sont les moteurs de leurs coups spéciaux. En Chine, on ne veut pas perdre. En France, l'équipe ne se forme que d'un seul individu, qui veut ainsi prouver sa valeur à son père, riche entrepreneur souvent absent. À chaque fois, c'est l'ardeur au combat de Gingka qui fait la différence. Un schéma répétitif dans ce sixième volume qui, je l'espère changera par la suite, parce que pour l'instant c'est plutôt ennuyeux.
Bon, heureusement, nous avons le droit en bonus de découvrir l'introduction en manga du film Beyblade Metal Fusion, avec déjà un peu plus d'envergure. C'est déjà ça. Que Metal Masters, sa suite directe, en prenne de la graine.