Maintenant qu'elle a réussi l'examen d'apprentie pharmacienne du château, Shirayuki peut entrer sans l'intervention de Zen et cela lui convient bien mieux. D'ailleurs, le prince lui remet officiellement sa plaquette, comme à tous ceux qui travaillent dans le palais. De même, elle sera dorénavant logée dans l'enceinte. Mais pour l'heure, il lui faut rencontrer la pharmacienne en chef, Garaku, mais celle-ci lui apprend qu'elle ne travaillera pas directement sous ses ordres. En effet, elle va devenir l'apprentie de Ryû... qui n'est autre qu'un enfant de douze ans !
Celui-ci se montre d'une timidité hors norme... et ne fait guère attention à la jeune femme, si ce n'est pour éviter qu'elle mette la pagaille dans ses notes manuscrites. Mais la jeune femme comprend vite que sous cet aspect se cache quelqu'un qui aime véritablement les plantes médicinales et les comprends mieux que quiconque. Mais Shirayuki se voit attribuer une nouvelle responsabilité en plus de son apprentissage. En tant qu'amie de Zen, et l'une des personnes amenées à le côtoyer le plus souvent, Garaku lui demande d'étudier soigneusement le dossier médical du deuxième prince de Clariness...
Elle en a fait déjà du chemin, la petite Shirayuki, depuis qu'elle est arrivée dans le royaume de Clariness ! Après être devenue l'amie du prince cadet et avoir surmonté les appréhensions du marquis Harka, la voici qui réussit à devenir "pharmacienne de la cour". Belle réussite pour une étrangère. Mais elle aura à montrer sa détermination une nouvelle fois dans une affaire de maladie qui frappe les soldats qui gardent une forteresse de l'est placée sous la supervision du prince Zen. Une nouvelle fois, ses études des plantes médicinale vont être à l'honneur. Néanmoins, pour corser l'histoire, Sorata Akiduki va nous faire découvrir un nouveau personnage qui se montre énigmatique quant à ses véritables intentions. On ignore s'il en veut à Zen, s'il apprécie Shirayuki, ou si au contraire il souhaite l'écarter...
De quoi nous donner envie de découvrir le troisième volume, sans contestation !
