Après l'explosion, Makumo est tombé dans une salle étrange où il découvre avec stupeur une petite fille, qui n'a aucune réaction, ne dit rien... Avec sa bonne nature habituelle, Makumo se dit qu'elle a dû être choquée par l'explosion, et donc lui fabrique en improvisant une robe pour la calmer. Étrangement, cela semble fonctionner, puisque celle-ci se met à rechercher son père sans faire attention au danger qui la menace. Makumo ignore alors qu'il s'agit de Ank, la fille du boss de Genos, pour qui tous ces sacrifices sont faits.
De son côté, Key doit la vie à la cape de protection que lui a faite Makumo avant l'assaut. Pourtant, son avancée pour retrouver Ash se trouve perturbée par l'inventeur de Genos. Pendant ce temps, le docteur Yura parvient à l'extérieur, où il découvre que l'explosion de Ash a dévasté une grande partie du château. Pourtant, il ne semble pas du tout inquiet pour la vie de son chef... Et de fait, Ash découvre que son ennemi, le maître de la mort, n'a pas une seule égratignure. Visiblement, il va falloir se sacrifier pour espérer le vaincre...
Après une entrée dans le quartier général catastrophique, avec des masterpieces dont on ignore de qui ou à qui ils sont véritablement loyaux, ce douzième opus s'avère rentrer dans le vif du sujet, avec un combat contre l'homme sans doute le plus puissant du monde, puisqu'il contrôle pas moins que la mort. Le toucher est donc synonyme de mort, et Ash en sait quelque chose, mais il compte bien sur l'artefact que lui a donné ce Boss pour le vaincre.
Ce tome est plutôt accrocheur part rapport à ceux du début qui manquaient d'une bonne réalisation. Il faut croire que la multiplicité des personnages donne un boost à Artelier Collection, et c'est tant mieux.