Devant les douleurs du passé de Kagaho du Bénou, le chevalier Dôko de la Balance décide de tout faire pour lui éviter de devenir un monstre. Ce faisant, il utilise sa technique la plus puissante, l'Ultime dragon, qui emporte les deux adversaires vers la stratosphère et vers une mort inévitable. Kagaho ne comprend pas la décision de Dôko, pourquoi vouloir se sacrifier pour lui ? C'est au fur et à mesure de sa compréhension que la couleur de ses flammes change... Pendant ce temps, Pandore arrive à la maison de Saturne pour récupérer son fidèle serviteur, Rhadamanthe. Mais Valentine se dresse alors sur son passage, prêt à en découdre avec la soeur de Hadès pour protéger celui qu'il considère comme son maître, Rhadamanthe. Pandore entre alors dans une folle colère et se met à vouloir le dresser tout comme elle l'a fait avec son maître...
Hum, c'est bizarre cette idée de sadisme dans les pages de Saint Seiya. On n'avait pas vraiment vu Pandore comme cela auparavant. Néanmoins, ce passage reste mineur alors que Sacha, alias Athéna, Tenma de Pégase et le chevalier du Lion arrivent à leur tour dans la maison de Saturne. Face à eux, il reste à chacun un adversaire. Athéna va devoir se servir de ce que lui a apporté Dôko, son armure divine. Idée intéressante, puisque rarement utilisée par Masami Kurumada dans la série originale. Autre information importante, l'une des armures de bronze les lpus connue, qui n'avait pas été vue jusqu'à présent, va refaire bientôt son apparition.
Bref, ce volume de The lost Canvas s'avère intéressant, mis à part le petit écart de conduite de Pandore, à mon sens peu utile dans la trame générale. La suite promet d'être très musclée, et source d'informations sur Sacha... et une nouvelle fois sur le passé de Tenma, qui va devoir combattre face à ce que personne ne peut détester : sa propre mère.