Alors que le tome deux nous laissait dans l'expectative d'une suite un peu plus flamboyante que cet opus de transition, Stephen Deas tient ses promesses avec un troisième et ultime tome bien plus prenant que le précédent.
La Némésis des royaumes avance, semant le chaos. Les dragons se réveillent et se souviennent de leur véritable nature de feu et de violence. Leur transe séculaire, maintenue depuis une éternité par des drogues aujourd'hui disparues, n'est plus qu'un souvenir et eux aussi prennent conscience de ce que les hommes ont fait. Ils rêvent de vengeance et de fournaise, et pourraient bien l'obtenir.
Les humains eux-mêmes sombrent dans le chaos et la confusion tandis que les rivalités deviennent de plus en plus sanglantes et menacent de détruire le Palais Adamantin. Le prince Jehal, monté au pouvoir par traîtrise et perfidie, est à présent le seul à, peut-être, pouvoir obtenir une trêve entre les différentes faction. Car seule une union pourrait sauver l'humanité. Mais Jehal a uni tout le monde... contre lui !
Ses ennemis sauront-ils lui pardonner pour mieux survivre ?
Ce dernier tome répond à toutes les questions laissées en attente dans le précédent et conclut ainsi une saga comprenant tous les grands classiques du genre, mais traités avec originalité et une plume flamboyante.