Je continue la lecture du deuxième tome de Les Misérables dans ce format si peu pratique.
Nous avions laissés Jean Valjean, qui se fait appeler maintenant M. Leblanc, et Cosette après leurs énièmes déménagements pour fuir la curiosité de Marius, amoureux de Cosette.
Je ne raconterai pas le déroulement de lhistoire, mais simplement quà part les digressions coutumières à Victor Hugo, qui sont parfois carrément barbantes, ce deuxième tome est identique au premier dans sa qualité.
Nous retrouvons avec bonheur Gavroche, archétype du gamin de Paris, et tous ces nombreux personnages qui hantent le sillage de Jean Valjean.
Ce fut un calvaire de lire ce chef duvre dans cette édition, tant et si bien que je lai terminé en reprenant ma lecture dans ma version relié traditionnelle.