Chibo et sa servante Kaede arrivent au beau milieu de la nuit dans une auberge qui accepte de les prendre. Le lendemain, elles découvrent qu'elles sont dans une petite ville bien tranquille, où le fonctionnaire qui les gère, le seigneur Suzuki, est bon et protège bien ses habitants. Mais un nouvel arrivant bafoue son autorité sans que le fonctionnaire puisse répliquer : le seigneur Chichikuri Mito est en envoyé du Shogun en personne. Comment l'empêcher de toucher les seins de toutes les jeunes filles du la cité ?
On avait pu l'observer dans le précédent opus, La paire et le sabre commence à évoluer vers moins de simple démonstration de nénés, et plus de scénario en arrière fond. Ainsi, Hideki Yamada s'intéresse aux adversaires de son personnage principal, Kagebo et Sakurahana, qui auront sans doute une importance plus grande à l'avenir. Les histoires intermédiaires restent dans la logique de la protection des plus démunis contre les oppresseurs, ou contre des monstres aquatiques, c'est selon.
On peut donc en conclure que ça bouge au royaume des seins. Tant mieux, le silicone, ce n'est bien que pour fignoler les joints.
