Furuichi et Oga sont en enfer. Pour de vrai. Pour rentrer, il faut qu'ils retrouvent la fille d'Alindolon, Angelica, qui a été enlevée par des brigands. Or, Furuichi est super motivé pour la libérer pour une raison fort simple : Angelica est un super canon ! Après une discussion houleuse entre Oga et les deux brigands capturés, la troupe arrive au repère des pillards, la ville des voleurs de Vlad. Mais les bandits se tiennent déjà sur leur garde. Sachant que les jeunes ont avec eux un membre de la famille royale, le chef des brigands a gardé une botte secrète...
Mais il n'aura pas le temps de s'en servir, parce que les activités des voleurs ont énervé le maître des lieux, le seigneur Vlad en personne, qui n'a pas apprécié du tout qu'on s'en prenne à ses monstres. Or, le seigneur Vlad est une bête gigantesque ! C'est alors que Baby Beel voit son sang bouillonner et grandit pour combattre son adversaire, avec Oga sur sa tête pour le diriger tel un mecha géant !
Bref, cette petite escapade en enfer ne s'est pas déroulée comme un arc long, comme on aurait pu le croire à la fin du volume précédent, mais plutôt comme une fin de vacances d'été pour les humains de la Terre. Le retour se fait d'ailleurs dans le lycée de riche où la classe des plus méchants de Ishiyama ont été rassemblés dans une classe du lycée Saint Ishiyama. D'ailleurs, les élèves de ce lycée ont ordre de ne pas s'approcher de cette classe unique, déjà surnommée Ishiyamal.
Bon, si j'ai effectivement été un peu déçu du faible passage par l'enfer, l'introduction de cette intégration dans le nouveau lycée est intéressante, et l'on voit que Oga a toujours envie de se mesurer à plus fort que lui. L'humour aide bien, Ryuhei Tamura fait tout ce qu'il faut pour préparer un volume sept qui devrait être plein d'action. Somme toute, c'est un tome de Beelzebub qui s'en tire bien.