Après avoir chevauché, Giichi et Hyaku tombent sur quatre hommes. Pour Hyaku, c'était la première fois qu'elle montait un cheval. Du coup, quand elle en descend, ce n'est pas très glorieux. Mais Giichi n'y fait pas attention. Les hommes qu'ils ont croisés sont ceux du Ittôryû et il en a reconnu un en particulier. Et pour cause, s'il est manchot, c'est à cause de Giichi qui lui a coupé le bras naguère ! Les trois autres hommes ne connaissent pas Giichi et ils ne semblent pas trop non plus savoir ce qu'est le Mugaï-Ryû. Mais Abayama, leur chef, lui sait. Et il ne compte pas laisser passer cette chance de se venger. Il précise par contre bien qu'il est hors de question que ses hommes se mêlent de ce combat ; s'ils le font, il les tuera lui-même. C'est sa revanche, sa vengeance, et personne ne la lui enlèvera.
Je ne suis pas un grand spécialiste des mangas (cela fait peu de temps que j'en lis) et c'est bien la première fois que je commence une histoire avec le vingt-septième tome de la série. Donc, on peut se douter que je n'ai rien compris aux tenants et aux aboutissants des combats que j'ai pu lire. Et des combats, il n'y a pas que celui de Giichi et Abayama dans le tome, même s'il est celui qui occupe le plus de place.
Par contre, ce que je peux dire, c'est que j'ai beaucoup apprécié le dessin. C'est fin, précis et détaillé. Et les à-plats de gris renforcent cette impression de qualité et de finesse dans le trait. Les mouvements ne sont pas en reste et le dessin est lisible quant à savoir qui fait quoi.
C'est donc un tome bien réalisé, qui ne se concentre par contre que sur des combats.
