Partout au royaume d'Amawakuni, les prêtres de la tribu des Himés reçoivent un message d'espoir : Arata n'est pas le meurtrier de la princesse, mais l'incarnation du grand roi du Soleil qui va la sauver. Ainsi, de nombreuses aides pourront se présenter à Arata et à ses compagnons. Ces derniers arrivent d'ailleurs dans un désert de sable bleu, qui va les faire entrer sur le territoire du fourreau divin Yataka. Mais ce dernier les attend de pied ferme, et ne compte pas faire de cadeau au porteur de Tsukuyo, pour des raisons qui lui sont personnelles, mais qui dictent sa conduite depuis des années, y compris envers ses fourreaux-serviteurs.
Si je ne suis pas en accord avec la petite singularité scénaristique qui va permettre au final de résoudre en partie cette histoire, l'idée de base d'anciennes promesses et de respect de la fidélité, elle, est bonne. Bon, le trou glouton, mis à part permettre un peu de fan service gratuit... honnêtement, ça n'apporte pas grand chose au scénario. Pire encore, cela nous renvoie à une mascarade telle que le costume féminin chez le fourreau divin Kugura. Je pensais que l'on avait dépassé ce cap.
Ceci dit, globalement, l'histoire reste bonne. Je regrette l'absence de l'Arata dans le vrai monde cette fois-ci, mais j'apprécie la tournure que prend la fin de ce volume. Sans doute que nous ne pouvons pas tout avoir en moins de deux cent pages...