Une fois n'est pas coutume, c'est Nudge qui a une idée : et si le code était en fait lié aux pages, versets et mots de la Bible ? Mais non, c'est encore un échec. Le lendemain, Max et Nudge utilisent les réseaux informatiques pour rechercher des notes sur les enfants disparus quatorze ans auparavant, soit l'âge de Max, Fang et Iggy. Seul soucis, c'est que Gazzy et Iggy ont encore fait une grosse bourde en déclenchant l'alarme incendie dans l'école... et qu'une nouvelle fois, Anne doit les sortir du bureau de M. Pruitt très en colère. Le soir, c'est punition pour tout le monde, mais cela n'empêche pas Max de découvrir à la télévision un témoignage étonnant sur une certaine famille Griffiths dont le fils aurait été enlevé quatorze ans plus tôt. Or, cette mère de famille ressemble énormément à Iggy !
Le plus irréel, c'est que les deux semaines suivantes se sont passées sans la moindre embûche. Il y a même un garçon qui invite Max à sortir avec lui ! C4est lors de cette sortie que Max découvre que Ari est de retour, et qu'il semble lui aussi accompagné par une fille dont la silhouette blonde lui est étrangement familière. En effet, quelle surprise en découvrant qu'elle n'est autre que son propre sosie ! Alors ça, et le trouble de toujours penser à Fang alors qu'elle se trouve avec un autre garçon...
Que dire, sinon qu'une nouvelle fois, le tandem James Patterson et Narae Lee fonctionne parfaitement ? En effet, la mise en scène et les graphismes portent parfaitement l'histoire, et cette dernière propose son lot de révélations, en alternant les passages de calme et ceux d'action. D'ailleurs, outre la quête du passé, et l'enquête de la vérité sur leurs origines, nous découvrons des éléments qui rajoutent un petit côté espionnage industriel à l'ensemble, histoire de corser le tout. En outre, nous ne savons toujours pas réellement les motivations de Jeb en ce qui concerne Max.
Bref, un scénario accrocheur qui offre une lecture divertissante, et surtout pas ennuyante. Il faudra d'ailleurs faire attention à la petite Angel... qui porte bien mal son nom quand elle veut véritablement quelque chose, au grand dam de Max la sage.
