Dernière épreuve pour atteindre l'équipe nationale qui va représenter Inazuma, un match qui va affronter les vingt-deux joueurs en deux équipes. Seuls les seize meilleurs seront qualifiés, en fonction des postes disponibles et bien entendu des compétences personnelles et collectives. À ce sujet, M. Hillman présente celui qui sera le véritable entraîneur de l'équipe, Mick Sirris. Très vite, les individus essayent de se mettre en avant. À ce jeu là, ce sont bien sûr les attaquants et les gardiens qui sont mis immédiatement à contribution. Et à la grande surprise de Mark Evans, le gardien de l'autre équipe se montre capable d'utiliser son propre pouvoir, la main céleste, qui a été inventé par son grand père David. Mark va avoir fort à faire pour prouver que le meilleur gardien, c'est lui.
En lisant ce septième opus de Inazuma Eleven, je me suis demandé s'il n'y avait pas un léger soucis dans les traductions. Parce que en terme de "nation", nous avons des noms d'équipes parfaitement inadaptés, par exemple les Big Waves, ou encore les Desert Lion. Néanmoins, le rythme de ce volume nous fait vite penser à d'autres points, comme la découverte de nouvelles techniques secrètes, à travers les nouveaux personnages de léquipe d'Inazuma ou des autres équipes. L'autre sujet important, c'est le respect entre joueurs, notamment dans le fait de laisser les autres montrer quelles sont leurs capacités réelles. En effet, parfois, certains tirent tout le mérite à eux, et voient d'un mauvais oeil que les autres démontrent leur qualité de peur de se retrouver dans l'ombre. Ici, Axel essaye de remotiver un autre joueur pour démontrer qu'il a lui aussi des formidables qualités de tireur.
Ce kodomo est à l'image des autres, toujours entraînant et fortement lié au jeu dont il est tiré. Néanmoins, contrairement aux premiers opus, sa lecture en reste agréable. Tenya Yabuno a trouvé le bon rythme à présent.
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