La sorcière Aria, la sur de Tasha, arrive aux portes du château, lieu de l'affrontement entre les sorcières et les chevaliers de la Table Ronde. Mais elle tombe sur Halloween qui lui bloque le passage. Elle est là pour honorer la promesse qu'elle a faite à Tasha et ne compte pas le décevoir.
Pendant ce temps, Callia a fait sortir des armures géantes du sol pour combattre les chevaliers. Elle n'en a qu'un seul en face d'elle, mais il vient à bout sans trop de difficultés de ses invocations. Callia décide donc d'aller combattre elle-même avec sa rapière. Même si elle s'abaisse en faisant cela, elle veut pratiquer un peu et faire de l'exercice. Pendant ce temps, son Supporter, un majordome du nom de Dexter, va se lancer dans un combat contre Cooga.
Tasha, de son côté, est toujours aux prises avec Lancelot. Il est encore trop faible pour mener correctement un combat, mais ne peut laisser les autres se battre à sa place. Il a un combat à gagner et lui seul peut le remporter.
Nous voici dans un nouveau tome consacré exclusivement à des combats. Nous sautons de l'un à l'autre, mais sans manque de lisibilité cette fois. On arrive à savoir où on est et avec qui. Par contre, l'intrigue n'avance toujours pas beaucoup. On en apprend un peu plus sur Halloween, mais sans que cela soit de grosses révélations puisque des réponses avaient déjà été esquissées auparavant. On aurait aimé avoir des informations plus conséquentes de ce côté. Par contre, on va enfin découvrir comment Tasha se fait couper le bras (la scène de fin du tome 5 !). Il était temps. Pour les implications, il faudra attendre encore, parce que le tome n'avance pas assez pour ça.
La lecture est toujours agréable, mais on aimerait que l'histoire générale avance plus vite. Mis à part un enchainement de combats, on ne sait pas trop où on va en ce moment. on va par contre retrouver des sorcières qu'on ne voyait plus beaucoup, comme Aria ou Variette, sur la fin. Espérons que le prochain tome face un peu avancer l'intrigue qui stagne beaucoup trop depuis quelques temps.
