Toriko et Rin ont été séparés de Terry et de Komatsu, ainsi que du Battle Wolf, Terry, désormais apprivoisé par Toriko. Rin et celui qu'elle aime secrètement se trouvent dans la forêt blanche, où de nombreux animaux sauvages rares se trouvent. Le duo n'a pourtant pas le temps de s'occuper d'eux, à cause de la présence sur l'île du GT Robot, sauf qu'ils n'ont pas le choix. Vu leur nombre et la fatigue de Toriko, Celui-ci demande à Rin de se servir de son émetteur de fragrance pour lui faire sentir un parfum très particulier, et particulièrement dangereux d'ailleurs : le battle fragrance, dans une solution à un pour cent. À cette concentration, Toriko espère que sa transformation un peu monstrueuse ne lui fera pas encore perdre l'esprit... Grand bien lui fait puisque la plupart des monstres se retrouvent expédiés par le gourmet hunter... sauf un Obeinosaure, qui a comme devine de ne jamais au grand jamais désobéir à celui qu'il considère comme son maître... c'est à dire la dernière créature à l'avoir vaincue. Toriko comprend alors qu'il va devoir vaincre la créature de façon plus spectaculaire encore que le GT Robot qui est actuellement son maître.
Une nouvelle fois, Mitsutichi Shimabukuro passe une vitesse supérieure, en dévoilant les dernières grandes régions de cette île géante, en démontrant de façon graphique le gigantisme du mammouth régal, et en démontrant que les quatre rois ne sont pas encore de taille face aux GT robots de la Gourmet Corp. Autrement dit, il semble plus que logique, en fait plutôt vital, que les personnages principaux cessent de rester dans le domaine humoristiques, et se remettent à un entraînement intensif pour passer à un niveau de puissance supérieur. En tout cas, je m'y attends pour le prochain volume de Toriko.
En attendant, ce cinquième opus s'est avéré particulièrement sympathique à suivre, à défaut d'être très inventif. En fait, cela me donne faim. Qu'y a-t-il en cuisine déjà...
