Les Chroniques de l'Imaginaire

Front Mission Dog Life & Dog Style (Front Mission Dog Life & Dog Style - 3) - Otagaki, Yasuo & Line, C.H.

Le capitaine Ren Akagi est toujours dans la ville de Freedom, avec la prostituée Kino, dont il s'est pris d'affection. Mais voilà, en essayant de fuir la ville tous les deux, le capitaine akagi finit par se faire repérer par les soldats de l'UCN qui lancent sur lui des minis-drones de combats qui réduisent les défenses de l'officier de l'OCU, et finissent pas le blesser. Heureusement, son mini drôle personnel, Dory, réussit à joindre les forces repliées de l'OCU, et le lieutenant Chavez a ordonné le lancement de quelques obus pour anéantir les minis drones.

Malheureusement, le lieutenant ne peut pas envoyer d'équipe de sauvetage sur place, mais à un point de ralliement précis. Il reste au couple jusqu'à six heures le lendemain pour les rejoindre. C'est alors que le capitaine, à terre, aperçoit qu'ils sont filmés par un journaliste free-lance, le fameux fou de guerre, Kenichi Inuzuka, qui va lui proposer un marché en échange de bonnes images. Inuzuka conduit Kino à l'OCU, et pendant ce temps Akagi devra piloter un Wanzer Zenith PB8. De quoi faire d'excellentes images non ?

Vive la guerre. Enfin, ce n'est pas mon avis, et d'ailleurs les auteurs de cet excellente histoires font tout pour nous montrer ce que cela peut donner, dans une guerre utilisant des technologies de pointe. Autant dire que les possibilités sont complètement énormes, et qu'il est effarant de voir qu'une seule personne puisse créer autant de dégâts à la fois. Tout à l'opposé, les civils tentent instinctivement de se mettre en sécurité. Chez Kino, c'est en faisant ce qu'elle sait faire de mieux, donner son corps. Nous avions vu d'autres exemples dans le premier volume de Front Mission bien sûr.

Bref, c'est encore une sacrée claque que nous donne Yasuo Otagaki, et comme Le fruit du Paradis, l'histoire qui était en cours depuis le volume deux, est terminée, je me demande ce qu'il va nous inventer pur la suite. En tout cas, j'en veux encore ! Vive la guerre !