Fidèle à sa promesse, Kvothe reprend le récit de sa vie et nous entraine avec lui dans sa quête du nom du vent et dinformations sur les assassins de sa famille. Toujours en butte aux tentatives de lui nuire diligentées par Ambrose, il est accusé de collusion avec des puissances démoniaques.
Suite à un procès où il est innocenté et sur les conseils de ses amis, il part, dans le but de se faire oublier quelques temps, avec son luth sur lépaule pour rejoindre le royaume du Vintas et son monarque qui recherche un musicien capable de composer des ballades et poèmes dans le but de conquérir le cur dune princesse.
Kvothe soupçonne que le Roi est lentement empoisonné par son médecin attitré et il parvient à le prouver, ce qui lui assure sa reconnaissance.
Le livre se termine sur son départ en mission, mandaté par celui qui est devenu son ami, dans le but déradiquer une bande de coupe-jarrets qui sen prend aux collecteur dimpôts.
Le premier tome fut déjà un coup de cur et cette première partie de la Peur du Sage ma obligé à rester éveillé une grande partie de la nuit pour le finir. Le style narratif se prête bien à l'histoire de ce héros, devenus aubergiste pour fuir sa destinée, démasqué par "le Chroniqueur" dont le but est de transcrire la véritable histoire de ce héros de légende.
Merci à Colette Carrière pour sa traduction. Sans elle je naurais jamais découvert cet auteur et retrouvé son style incomparable où on trouve la sagesse, l'humour, l'inventivité, et son sens de la mise en scène.
Il me tarde que la deuxième partie de la Peur du Sage soit publiée pour me replonger avec délice dans lunivers de Patrick Rothfuss.