Les Chroniques de l'Imaginaire

The Qwaser of Stigmata (The Qwaser of Stigmata - 11) - Yoshino, Hiroyuki & Satô, Kenetsu

La mission de Catcha et de Mafuyu est une réussite, car elles ont pu retrouver le tableau Noé et se le voir confié. Cependant, elles apprennent de la bouche du sbire de l'archevêque Smirnov que tous les témoins ont été éliminés... ce qui provoque la fureur de Mafuyu qui avait trouvé dans le couple d'aubergiste un accueil aussi proche que celui de proches parents. Meteora est donc sans pitié dans sa recherche des circuits élémentaires originels.

Néanmoins, la principale information qu'apprennent Catcha et Sasha, c'est que Jita, le qwazer du Carbone, subit une épreuve dite du "niplock", quelque part. En réalité, ce quelque part s'avère être l'académie St Mikhailov, sous la direction de l'organisation Athos. Mais Jita ne peut rien faire, car ses pouvoirs sont neutralisés par le piercing qu'on a placé sur son sein gauche. Tenter de les utiliser provoque immédiatement une excitation due à l'engorgement de lait divin...

La perversion des auteurs de ce mange m'étonnera toujours. On peut effectivement dire qu'en terme de punition, le niplock permet au lecteur d'en avoir plein la vue, et aux auteurs de se faire plaisir en multipliant les scènes osées. Pourtant, ce onzième opus de The Qwazer of Stigmata contient tout de même quelques avancées dans le scénario original, avec une rencontre d'une élève qui possède soit-disant des pouvoirs de divination, mais qui en fait est guidée par Edgar, un garçon très discret qui a quelque chose d'important à cacher. Jita veut en avoir le coeur net.

Néanmoins, l'histoire part souvent dans tous les sens, et il est très difficile de découvrir les indices importants au milieu de scènes inutiles, comme la compétition de bowling, ou dénudées, comme la scène de bain. Question de goût. Personnellement, je préfère les histoires aux images.