C'est la période de Noël et comme tout le monde les Schtroumpfs préparent la fête.
D'abord voici que le Schtroumpf Bûcheron tombe sur un petit sapin qui parle. C'est en fait une elfe qui s'est fait transformer en sapin par une sorcière parce qu'elle ne voulait pas lui indiquer le chemin pour retrouver le sapin d'or des légendes. Manque de chance, voilà que Gargamel passe dans les environs dans le même temps et entend cette histoire.
Alors qu'ils jouent dans la neige, les Schtroumpfs vont suggérer au Schtroumpf Paresseux de se blottir contre un loir pour faire sa sieste pendant que les autres s'amusent. Mais quand ils s'en vont tous, ils l'oublient.
Les Schtroumpfs aiment bien monter des bonhommes de neige. Ce qu'ils ne savent pas c'est qu'ils sont vivants et qu'une fois les Schtroumpfs partis, ils se mettent à parler. Comme ils sont censés fondre dès le lendemain à cause du redoux, les bonhommes de neige décident de partir vers le Nord. Mais en chemin ils vont tomber sur la maison de Gargamel.
Enfin nous allons voir le héros de cette période : le Père Noël. Deux histoire le font apparaître. Et il n'y a pas que les enfants pas sages qu'il prive de cadeaux, comme va s'en rendre compte Gargamel.
Graphiquement, on est tout à fait dans le ton. L'univers des Schtroumpfs est parfaitement respecté. Les petits bonhommes bleus ont eux aussi le droit de fêter Noël, non ? Il n'y a pas de raison. Il y a une petite incohérence à mon sens entre la dernière et l'avant-dernière histoire. Dans l'une les Schtroumpfs sont comme tout le monde et guettent l'arrivée du Père Noël et dans l'autre ils le connaissent. Mais c'est surtout que j'ai eu du mal à me passionner pour les histoires. Autant j'arrive à retrouver du Peyo dans d'autres séries de cet univers, mais là, c'est tombé un peu à l'eau pour moi. Mon âme d'enfant s'est-elle perdue et suis-je insensible à cette ambiance si singulière de cette période de l'année ? Peut-être. Peut-être aussi que ce n'est pas le meilleur album sorti et que le format d'histoire aux alentours de huit/dix pages ne convient pas pour raconter des histoires des Schtroumpfs.
