Gingka et Ryuga sont habillés en sortes de chevaliers et affrontent des monstres ressemblant à des draconiens et armés de toupies Beyblade. En fait, s'ils en sont là, c'est qu'ils devaient tester une machine capable d'augmenter leur force et leur technique pour tenter d'affronter Rago, le détenteur de Némésis. Rago est venu pour détruire la Terre et Gingka est son adversaire tout désigné, étant le bladeur le plus puissant et le plus talentueux de la planète. Mais voilà, suite à une bourde, ils ont été intégrés au simulateur et doivent trouver la solution pour en sortir.
Plus tard, alors que le combat contre Rago est de plus en plus proche, Gingka et ses amis sont téléportés dans une cité antique dans laquelle est caché le coup spécial du combat ultime, seul capable de tenir tête à Némésis. Il se nomme la cosmique nova. Ce sont Gingka et Masamune qui vont devoir essayer de trouver ce coup spécial.
Pendant ce temps, Rago se régénère pour être à pleine puissance lors de son combat. Les forces armées qui tentent des choses contre lui font toutes chou blanc. Mais voilà que Doji refait surface pour à nouveau régaler sa mégalomanie.
Ce onzième tome de Beyblade Metal est le dernier avec Gingka comme héros. Je dois dire que c'est certainement le tome le plus intéressant de la série. En effet, on n'enchaine pas simplement les combats de toupies. Les deux chapitres bonus y sont pour beaucoup. Mais pas seulement puisque l'"exploration" du temple participe aussi à casser l'habitude dans le scénario. Dommage qu'il faille attendre le dernier tome pour cela.
La série est close avec des étincelles. C'est toujours plein de bons sentiments et la morale est la même que pendant toute la série, à savoir qu'il faut se dépasser pour arriver à ses fins, ne jamais baisser les bras, mais qu'on n'arrive aussi jamais très loin tout seul et qu'on a besoin des autres. C'est dit de manière naïve mais c'est très juste.
Ce dernier tome plaira donc grandement aux fans. Les autres y trouveront les mêmes ingrédients qu'avant, avec un petit poil d'originalité en plus.
