Sora ayant perdu son combat contre Shôjo, ses amies et les armes à symbole en leur possession sont passées aux mains de l'ennemi. Il ne reste plus auprès d'elle que Yuki, mais celle-ci sait bien qu'elle ne peut soutenir Sora car son arme - un simple poignard - n'est pas assez puissante. Sora ne perd pas espoir pour autant, convaincue que le bien ne peut que triompher du mal si le chevalier (elle-même) reste scrupuleusement sur la voie de la justice et ne renonce jamais à libérer les princesses (les autres jeunes filles de l'école).
Dans le camp adverse cependant, les intrigues vont bon train, menées par un L plus énigmatique que jamais. Shôjo, qui aimerait que son idole le tienne plus dans la confidence, décide de prouver sa valeur en combattant Sora une nouvelle fois et en la contraignant à céder sa dernière arme, celle de Yuki.
Yuki manque de confiance en elle. D'ailleurs, malgré la foi qu'elle accorde à Sora, son arme n'a pas de symbole. Elle est donc persuadée d'être inutile. Dans cet épisode, Sora aura donc fort à faire pour que Yuki découvre enfin la force qui est en elle. On en apprend également davantage sur Shôjo, et le parallèle Yuki / Shôjo est assez intéressant. Car finalement, Shôjo se révèle assez semblable aux "princesses" de Sora : à la recherche de justice, il a rencontré L qui s'est montré sous son meilleur jour et est devenu son dieu.
Et L dans tout ça, quel jeu joue-t-il ? Ce n'est franchement pas clair. Entre le mystère voulu par l'auteur et la confusion du scénario pas évident du tout à suivre, j'avoue être larguée. Les nombreuses références au roman "Le chemin du Paradis", que les personnages ont en leur possession et qui semble les inspirer, me plongent encore plus dans le flou. Je ne comprends pas tout, et ça me rend la lecture assez laborieuse.