Vergil, le frère jumeau de Dante, se rend dans des catacombes en compagnie d'Arkham. Il y découvre un démon gigantesque avec un sceau démoniaque lui transperçant le pied. Son visage a pourtant des traits angéliques. Vergil est en admiration devant cette créature si puissante mais qui fut jadis vaincue, en partie par son propre père, Sparda.
De son côté, Dante se démène toujours pour retrouver Alice, la jeune fille qu'Enzo lui a demandé de retrouver. Et sur sa route, de nombreux démons se dressent entre lui et son objectif. Pas de chances pour eux.
Le premier tome de cette adaptation du jeu vidéo Devil may cry 3 était simplement mauvais. Ce second et, heureusement, dernier tome l'est encore plus. Dans le premier opus, il y avait au moins de l'action, certes mal menée et brouillonne. Ici, on se retrouve à tenter de savoir où les élucubrations des personnages veulent nous mener, sans jamais y parvenir. Les dessins sont toujours aussi brouillons, la palme étant lors des combats.
Bref, on ne sait pas ce qu'on lit, on ne sait pas pourquoi on le lit et on n'attend qu'une chose, que le tome se referme. Les adaptation de jeux vidéo ne sont pas toutes bonnes à publier. Devil may cry 3 en est la preuve flagrante.
