Sadwin, Frözen et les personnes avec qui ils voyagent arrivent au village de Hope. Le village semble désert, mais voilà que deux enfants se présentent, donnant des indications sur le meilleur hôtel de la ville. Il se trouve que ces enfants sont des fantômes. Que se passe-t-il donc dans cette ville ? La guerre aurait-elle tout ravagé ?
A la fenêtre d'une chambre, Laam observe les nouveaux arrivants. Elle est en compagnie d'Absynthe, par contre attachée à une chaise. Il y a beaucoup de fantômes d'enfants autour d'elles. Et autant ils apprécient la gentillesse d'Absynthe, autant Laam et ses gros mots ne leur plaisent pas vraiment.
Laam, Frözen et Sadwin sont amenés à se croiser à nouveau. Mais comment se passera leur rencontre, eux qui voyagent vers le même but ?
Troisième et dernier tome de Les terres de Sienn, La vie des morts conclue ce triptyque de la même manière que les tomes précédents : on a du mal à rentrer dans l'histoire, à s'attacher aux personnages et à trouver un réel intérêt à leurs aventures. Frözen reste le personnages le plus intéressant et on découvre son origine à la fin de l'aventure. On voit Sadwin sur la première page, mais je n'ai pas réussi à trouver un lien avec la fin. Et puis, il y a des passages dont on se demande franchement l'intérêt ; qu'apportent-ils ? Comme cette bataille qui ne cesse jamais au pied d'une tour. Peut-être me manque-t-il des éléments pour comprendre cette histoire, mais j'avoue que je suis resté perplexe.
Il y a tellement de bandes dessinées de fantasy que chacun essaye de se démarquer. Mais plutôt que de lire des aventures comme celles de Les terres de Sienn, je préfère encore lire une aventure simple, basique mais bien faite. La recherche de l'originalité, que l'on ne trouve en plus pas forcément, peut parfois perdre les auteurs en route de même que les lecteurs.