A la fin de ce minuscule texte d'à peine cinquante pages de petite surface, l'auteure se pose la question suivante : "Mais par quelle mouche cantharide faut-il être piqué pour se lancer dans une analyse pareille ?". Eh bien, je me suis posée exactement la même question, et hélas, je n'ai pas trouvé la réponse.
Je ne connais pas la pièce dont il s'agit ici. Ce petit fascicule m'a donc permis d'en avoir un résumé. C'est déjà un bon point. Mais Catherine Dufour n'a pas réussi à me donner envie de la lire car je n'ai pas compris grand chose.
Et je me suis posé la question : qu'apporte ce texte à quelqu'un qui connait la pièce ? Rien. Ce texte consiste juste en un résumé de la pièce, avec quelques traits d'humour bienvenus ; mais c'est tout. Aucune analyse d'aucune sorte, aucune étude sur le pourquoi ou le comment.
Bref, pourquoi ce texte ?
Il s'agit donc du résumé de la pièce Lorenzaccio d'Alfred de Musset. Lorenzaccio est un personnage qui transpire le sexe, et qui, dès qu'il apparait dans une scène, donne une connotation sexuelle à tout ce qu'il dit ou fait. Parait-il.
J'aurai vraiment du mal à résumer le résumé de la pièce, car je n'ai pas compris grand-chose.
Il y a donc du sexe, des femmes achetées, des morts, des trahisons.
Le seul atout de ce livre est qu'il est très court, et donc lu en moins d'une heure. On ne peut nier non plus l'écriture agréable et maîtrisée de l'auteure, que j'ai lue dans des romans beaucoup plus intéressants.
Une lecture qui me laisse vraiment perplexe.