Ken a été fait prisonnier dans le repaire d'Aogiri et c'est aux mains de Yamori qu'il finit. Le pauvre découvre alors qu'il sera la victime d'une séance de torture inimaginable. Mais les membres de l'Antique ne peuvent accepter que leur ami soit prisonnier et, sur une décision mûrement réfléchie, ils se mettent en route pour sauver leur ami de sa prison, en espérant qu'il ne soit pas trop tard. Au même instant, les inspecteurs du CCG s'apprêtent à prendre d'assaut le repaire en question, ignorant qu'une autre bataille y a déjà été déclenchée.
Ce nouvel opus de Tokyo Ghoul confirme beaucoup de choses. Par exemple, il confirme que visuellement, je suis fan des dessins de Sui Ishida. Que ce soit au niveau du design des personnages, des scènes d'actions ou pour dégager une atmosphère lugubre et oppressante, c'est réussi ! Esthétiquement parlant, c'est une vraie réussite !
L'intrigue avance tout doucement et Ken va devoir se surpasser et cesser d'être ce garçon trop bon et trop gentil. Il va vivre des situations impitoyables et devoir faire des choix lourds de conséquences. Son courage va pourtant lui être bénéfique parce qu'enfin il va se surpasser pour affronter un ennemi dangereux et très fort, même si tout à son honneur, Ken va rester tel qu'il est jusqu'au bout en prenant une décision réfléchie et qui colle au personnage. J'ai souffert avec lui cependant des tortures qui vont lui êtres faites.
J'ai adoré voir la fidélité du groupe de l'Antique qui ne va pas hésiter à se jeter dans la bataille pour retrouver leur ami Ken. On sent que les liens sont forts entre eux !
J'ai adoré, mais j'avoue que j'aurais franchement voulu voir davantage Juzo, l'enfant inspecteur du CCG qui a beaucoup à nous montrer.
Un quasi-sans-faute pour ce septième tome qui prouve à quel point Tokyo Ghoul est une série géniale, mais réservée à un public averti !