Une nouvelle fois, nous tombons sous le charme des contes des mille et une nuit. Aladin grandit cette fois-ci en Chine ancienne, je pensais qu' Aladin vivait au Moyen Orient... A la mort de son père, Aladin est trompé par un homme qui se dit être son oncle. Ce dernier est un magicien venu d'Afrique. Il souhaite retrouver la lampe magique mais ne peut la récupérer par lui-même. Il se sert d'Aladin. Mais l'aventure tourne mal quand ce dernier, qui n'est pas dupe de la méchanceté de l'homme, assoiffé de richesses, se retrouve seul dans un caveau menant à un jardin où la lampe se trouve. Il y est abandonné par le magicien, impossible de s'en libérer. Par un heureux hasard, Aladin frotte la lampe et un génie en sort, il lui exauce son vu de retrouver sa mère. Il est libéré et avec les bienfaits de la lampe, il s'entête à épouser la belle princesse Bradoulboudour. Mais ce sera sans compter de nouvelles péripéties.
Ce beau conte autour de cette lampe magique bien connue nous emporte dans les méandres de la Chine ancienne. Ce livre peut plaire aussi bien aux filles pour la princesse, et aussi bien aux garçons pour le courage d'Aladin. L' histoire n'est ni trop longue, ni trop courte, peut se lire avant de s'endormir afin que nos chers bambins puissent rêver à ces contes merveilleux. Ce livre est simple et beau.
Les illustrations de Madeleine Brunelet sont justes, pures, nettes et colorées en douceur. Pas de couleurs criardes avant le repos des petits yeux de nos enfants. Je le conseille à partir de cinq ans. A nouveau, le Père Castor tient là le bon rôle pour faire rêver petits et grands.