Ce roman a un sujet de départ attrayant : en effet, il raconte l’histoire d’un homme, Aimé Bolduc, né un 29 février, au XVIII
Là où se trouve la difficulté pour le lecteur, c’est dans la façon dont l’auteur a traité cette histoire. Ce sont des paragraphes denses, avec très très peu de dialogues. Les chapitres ne sont pas chronologiques puisque l’on passe allègrement d’un siècle à un autre, pour revenir en arrière, puis en avant, puis repartir. Cela donne presque le tournis !
Cette écriture très dense, ressemblant plus à des résumés ou à des anecdotes rapportées, empêche le lecteur de se sentir vraiment impliqué. On n’éprouve pas de sympathie pour le héros, ni d’antipathie d’ailleurs.
Mais au-delà de cette approche, le roman reste agréable à lire, très instructif, très documenté. On découvre les grands événements sous d’autres angles. De plus, l’écriture est maîtrisée, dynamique.
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