Le Hunting Game a débuté : Kaname, seul membre des Sunset Ravens y participant, fait alliance avec Kimihiko, un joueur fan des équipements militaires mais peureux et peu enclin à se battre. Kaname coache son nouvel allié peu expérimenté : il lui confie que chaque Sigil a son propre fonctionnement et que ce talent peut se développer en le travaillant.
Cherchant à découvrir ce nouvel environnement, Kaname se retrouve nez à nez avec la statue de la gare Shibuya. Mais que fait ce monument de Tokyo dans cette jungle ? Ce n’est pas une reproduction, Kaname en est certain, l’a-t-on téléportée ? Un voyage temporel ?
Les autres joueurs font aussi leurs recherches et se posent les mêmes questions. Kanehira, joueur de niveau A, à la découverte des règles du Hunting Game, utilise plutôt des joueurs lambda. Retrouvant la piste de Kaname, Kanehira lui propose une collaboration, le temps de l’événement... Une façon de mieux le piéger...
Dans ce dixième opus de Darwin’s Game, on en apprend un peu plus sur l’événement Hunting Game, règles de score, monstres, environnement mais aussi sur les forces en présence et les pouvoirs de chacun. Dans ce lieu sauvage et hostile, le jeu de survie urbaine se transforme en survie sur une île, un Koh Lanta de geek ! Stratégie et alliance occupent donc une part primordiale dans cette épreuve, et les paris sur le vainqueur vont bon train.
Les décors composés d’un mélange de jungle luxuriante avec des lieux célèbres de Tokyo version post-apocalyptique créent une ambiance propice à la chasse aux monstres. Ces plans doivent beaucoup amuser les Japonais qui retrouvent leur lieu de vie quotidien ainsi métamorphosé.
Enfin en bonus, toujours sympa, le téléreportage des anciens personnages décédés dans les tomes précédents, un clin d’œil humoristique et dans le thème téléréalités.