Les Chroniques de l'Imaginaire

Le baiser de la déesse (Le baiser de la déesse - 1) - Pike, Aprilynne

Tavia était dans l’avion avec ses parents lorsque celui-ci s’est crashé. Elle est la seule survivante sur les 256 passagers. Elle vit maintenant avec son oncle et sa tante et est victime d’une amnésie. De ce fait, elle est suivie par une psychologue. Elle se confie auprès de son seul ami, Benson. Il connaît tout de son passé, du crash de l’avion et des choses étranges qui commencent à lui arriver. En effet, Tavia n’arrête pas de rencontrer un jeune homme qui l’attire, mais qui disparaît aussitôt. Qui est-il ? Aussi, Tavia développe des capacités étranges. Que lui arrive-t-il ?

J’ai passé un bon moment de lecture avec cet opus. La couverture est vraiment très belle et m’a donné envie de me plonger dans ce livre. Dès les premières pages, l’auteure nous plonge dans l’histoire avec le crash de l’avion. L’avancement de l’histoire peut sembler lent, mais je pense que l’auteure a choisi de garder le suspens le plus longtemps possible et de faire douter le lecteur sur la sincérité de chaque personnage. Pourquoi Tavia est-elle la seule survivante de ce crash ? Qui est le jeune homme qui l’attire ? Pourquoi développe-t-elle d’étranges capacités ?

S’agissant des personnages, Tavia est une jeune fille qui commence seulement à se remettre de ce crash d’avion. Elle a perdu ses parents et se retrouve hébergée chez son oncle et sa tante qu’elle ne connaît pas. Nous découvrons ensuite une Tavia perdue, qui ne sait pas à qui faire confiance. Elle ne sait pas ce qui lui arrive, et je dois avouer que j’étais comme elle. Je me méfiais de tout le monde et je me demandais comment elle allait dénouer toute cette histoire. Heureusement que Benson est toujours à ses côtés lorsqu’elle en a besoin. Un triangle amoureux se met d’ailleurs en place entre Benson, Tavia et cet étrange jeune homme qu’elle a rencontré.

Pour conclure, j’ai passé un bon moment de lecture avec ce premier tome dont l’histoire est originale malgré le triangle amoureux.