Alors qu'elle attend seule au restaurant, Megumi croise Ina Kawai, une jeune fille qui avait tenté de devenir une idole en même temps qu'elle. Celle-ci lui avoue être venue la voir plusieurs fois sans jamais oser lui parler, et lui dit qu'elle a toujours aimé ses chansons. Leur entrevue entre amies remonte le moral de Megumi.
Le lendemain, à l'agence, Shingo apprend que la Creamy au comportement plus osé était en fait une fausse Creamy. Ce serait Toshio Ootomo qui aurait découvert la supercherie, car la fausse Creamy était gauchère. Rien n'échappe aux fans... Quoi qu'il en soit, l'usurpatrice ayant disparu, le sujet se clôt ici. Surtout qu'un immense concert de Creamy est prévu dans quelques jours, et que les 50 000 places vendues en font le plus grand événement jamais organisé par Parthenon.
Le filage a déjà été répété plusieurs fois, tout promet d'être parfait. Enfin, sauf si son manager se trompe d'une semaine pour le tournage d'une publicité et l'emmène sur l'île Atara, mais ce serait vraiment trop gros pour être vrai, n'est-ce-pas ? Malheureusement, c'est la réalité et il faut ramener Creamy au plus vite jusqu'au lieu du concert, mais le temps commence à presser un peu...
Je trouve dommage que l'on n'ait pas plus d'information sur la fausse Creamy. En effet, ses paroles ont l'air d'avoir marqué Megumi et l'incitent à essayer d'être un peu plus gentille avec Creamy. Ceci étant dit, ces informations sont sûrement présentes dans la série principale.
On peut voir dans ce tome que l'amour de Megumi pour Shingo est réciproque mais qu'il n'est pas capable de l'assumer devant Megumi, ce qui le pousse à enchaîner les énormes bourdes envers elle.
Un tome bien rempli en émotions pour la pauvre Megumi, pour qui Shingo refuse d'admettre son amour. Il n'y a plus qu'à espérer que cela ne la poussera pas à bout d'ici le prochain tome...
