L’organisation d’Hanawa a enlevé Mustumi. En effet, son statut spécial de chef de la famille Yozakura lui confère une grande valeur : elle est la seule à pouvoir engendrer un héritier qui aura des compétences exceptionnelles.
Taiyô, son mari, réussi à la sauver in extremis, avec l’aide de Kyoichiro, le frère ainé de Mustumi, et ils retournent, comme si de rien n’était, au lycée. Mais Taiyô se fait très rapidement convoquer pour être interrogé par un inspecteur de police qui semble en savoir vraiment beaucoup sur lui et ses activités depuis qu’il a intégré la famille Yozakura.
Par amour pour Mustumi et par loyauté envers sa nouvelle famille, il nie toute implication dans ce qui lui est reproché afin de les protéger. Il passe ainsi avec brio l’épreuve concoctée par Kyoichiro avec la complicité de Seiji, un ancien camarade de lycée devenu inspecteur. Kyoichiro voulait vérifier si l’entrainement du jeune homme lui permettrait de résister à un véritable interrogatoire et il admet que Taiyô a réussi son test.
Quelques jours plus tard, c’est Shinzo qui a besoin d’aide, et c’est Taiyô qui est désigné pour cette mission.
Ce second tome démarre sur les chapeaux de roue et il faut bien avouer qu’il n’y a quasiment pas de temps mort au long du tome.
J’avoue que c’est un vrai plaisir de retrouver la famille Yozakura et ses membres loufoques. Les situations et les aventures s’enchaînent très rapidement, avec toujours beaucoup d’humour et des rebondissements inattendus. J’ai beaucoup aimé le passage avec les jeux vidéos et, comme à la fin du premier tome, j’ai envie de savoir ce qui va arriver à la famille dans la suite de leurs aventures.
