L’ordre de l’épée a bafoué une de leur règle fondamentale et leur chef a conclu un contrat avec l’un des treize fléaux : Astaroth la grande diablesse. Elle est aussi puissante que Marbas et Naberius, et le combat se révèle serré jusqu’au moment où Diana est gravement blessée et frôle la mort, ce qui déclenche une rage meurtrière chez Naberius. C’est au cours de ce combat que l’on apprend que Diana n’a pas contracté qu’un seul pacte, et qu’elle est donc liée à d’autre diables, mais leur nombre demeure incertain. Mais les soldats de l’ordre de l’épée lui tirent dessus avant qu’elle ait expliqué les pactes qu’elle a conclu. Et elle s’effondre.
Naberius se rend compte qu’il est plus attaché à sa contractante qu’il ne le croyait et sa mort l’affecte tellement qu’il en brise son sceau pour laisser exploser son pouvoir dans toute son intensité.
Wisteria, quant à elle, réussit le tour de force d’aider Marbas à se contrôler tandis qu’il essaie d’empêcher Naberius de tout détruire autour de lui.
Un tome très intense, avec plusieurs combats à la fin incertaine, des retournements de situations imprévues, et surtout la découverte du vrai visage du chef de l’ordre de l’épée, qui était resté soigneusement dans l’ombre jusque-là.
L’histoire devient de plus en plus intéressante, et sur la fin du tome, on apprend de nouvelles choses sur le passé de Snow, le frère de Wisteria. J’ai beaucoup aimé le petit clin d’œil à Sherlock Holmes dans le dernier chapitre, et j’avoue que la direction que prend l’arc de l’histoire du côté de Snow m’intéresse beaucoup car de nouveaux antagonistes sont présentés et risquent de provoquer pas mal de problèmes lors des prochains chapitres.
C’est toujours un plaisir de lire ce manga, et au fil du temps Wisteria est de plus en plus attachante.