Tetsu et Doberman enchaînent les missions afin de gagner le maximum d’argent. En effet, Tetsu en envoie beaucoup à son ancien orphelinat, dans l’espoir d’améliorer le quotidien de ceux qui l’ont accueilli et l’ont élevé pendant des années.
Les missions sont diverses, et les monstres assez nombreux pour qu’ils ne puissent pas s’arrêter. Mais même s’il y a des missions, elles sont souvent mal payées, et c’est ainsi que le duo se retrouve à devoir escorter un vieillard jusqu’à la vallée du croissant de lune. Hélas pour Tetsu et Doberman, ils ne sont pas les seuls sur l’affaire, Arata et Barzoï ont aussi été demandé pour cette mission, et la paye de base déjà peu intéressante devra être divisée en deux, mais le duo accepte quand même afin de pouvoir se nourrir.
Le voyage est compliqué. En effet, Tetsu et Arata n’ont pas du tout la même vision de ce que doit faire ou ne pas faire un chasseur, et même si la finalité est la même, leurs caractères s’opposent souvent. Mais quand ils se font attaquer, ils font front afin de protéger leur client.
Un second tome tout aussi bon que le premier, où on voit la fierté de Doberman pour son maître se révéler au fur et à mesure que Tetsu prouve qu’il est le digne descendant de The Big One. Le limier pense même que Tetsu sera meilleur que son aïeul et il le pousse de plus en plus au cours des entraînements afin de montrer à tous que leur duo est l’un des meilleurs dans la guilde des chasseurs.
L’auteur fait un peu de fan service sur une illustration d’en-tête de chapitre, mais ne sombre pas dans la facilité en dénudant les jeunes filles de l’histoire.
L’histoire reste très intéressante à suivre et le trait de l’auteur, incisif, rend l’ensemble très vivant. A suivre pour le dernier volume !