Shûko n’a pas réussi à avouer ses sentiments à Serizawa, et elle fuit le festival, bouleversée. C’est alors qu’elle retrouve son ami d’enfance, Sakaki, qui s’excuse de lui avoir dit qu’elle n’était pas une vraie fille. Il la pousse aussi à aller avouer ses sentiments à Serizawa.
Shûko prend donc son courage à deux mains, et avoue enfin à Seri que le garçon pour qui elle a des sentiments très forts, c’est lui. À son grand étonnement, juste avant sa déclaration, il lui avoue qu’il ne veut pas la perdre, et quand elle lui dit « Je t’aime », il l’embrasse en guise de réponse. La jeune fille est à la fois ravie et troublée, d’autant plus que les jours suivants Serizawa se comporte exactement comme avant avec elle, alors qu’elle espérait qu’ils seraient encore plus proches.
Quand Shûko raconte la scène à sa meilleure amie Kazune, celle-ci lui apprend qu’elle aussi a avoué ses sentiments à Kôzuki, et qu’ils semblent être partagés…
Un dernier tome pour cette série qui est très mignonne d’un bout à l’autre du point de vue sentimental. Shûko est tellement persuadée qu’elle est moins jolie et moins populaire que les autres filles qu’elle ne se rend même pas compte, au début, que son idylle avec Seri provoque la jalousie de plein d’autres filles. Et elle ne se rend pas compte non plus que celui-ci la préfère à toutes les autres justement parce qu’elle n’est pas comme elles.
J’ai vraiment aimé cette série qui, après un premier tome un peu mitigé, a su trouver ses marques et dérouler une jolie histoire qui parle d’acceptation de soi, d’amitié, d’amour, et d’entraide. Et même si l’histoire d’amour demeure convenue, le fait que ça soit la jeune fille qui doit prendre la défense de son futur petit ami amène un petit vent de fraîcheur sur le genre.
J’ai aussi beaucoup aimé l’envolée de ballons au moment du premier baiser. C’était inattendu et amusant à la fois.