Ce tome s’ouvre sur un flashback de l’enfance d’Ibuki et d’Ôsuke. Voisins et amis depuis leur rencontre, ils ont passé énormément de temps ensemble et Ôsuke accompagnait Ibuki à l’association du langage des signes. C’est pour cela qu’il maîtrise très bien cette langue.
Quand Ibuki et Ôsuke se disputent à propos de l’ex petite amie d’Ibuki, Hidaka, Tsubaki l’apprend et essaye de réconcilier les deux garçons. Elle les invite donc tous les deux au feu d’artifice du sanctuaire Midorito où ils passent un très bon moment. Mais Tsubaki, très gourmande, fait un malaise parce qu’elle a trop mangé, ce qui inquiète aussitôt Ibuki qui, pour la première fois, utilise sa voix pour appeler Ôsuke à la rescousse.
À la suite de cet incident, Ibuki se rend compte qu’il a envie de mieux connaître Tsubaki…
Dans cet épisode on commence à comprendre pourquoi Ibuki est aussi secret et surtout on apprend pourquoi il reste muet, alors qu’il n’a pas perdu sa voix en même temps que l’audition.
Tsubaki est égale à elle-même. Cette jeune fille est toujours positive et heureuse de la vie qu’elle mène, et ne profite jamais de ses problèmes cardiaques pour se faire chouchouter. Elle est d’ailleurs très embêtée quand Ibuki pense qu’elle fait un malaise alors qu’elle n’a que quelques soucis d’estomac dus à sa gourmandise.
Une histoire toujours intéressante à suivre, qui parle de différence et qui montre combien certains handicaps sont compliqués à vivre au quotidien, et à gérer émotionnellement.
