A l'école que fréquentent Chance et son petit frère Celsius, les jeux vidéos sont interdits. Pourtant, depuis quelques temps, un nouveau jeu fait fureur. Il faut dire que ZZIM sait s'adapter à son public et le retrouver par l'intermédiaire de sa montre connectée, sa calculatrice, voire l'affichage lumineux de la pharmacie. Personne ne veut rater les bonus ou les nouveaux mondes à explorer, et bientôt tout le monde est accroc, que ce soient les élèves ou les professeurs.
Il y a pourtant deux élèves que cela inquiète : l'écuyer Ronand, qui ne joue jamais aux jeux vidéos car il est épileptique, et Vishala la tacticienne, qui en venue à bout du jeu en deux temps trois mouvements. Quand ils découvrent que de dangereux individus masqués dévalisent l'école sans que personne ne moufte, ils réalisent qu'il est urgent d'agir. Pourquoi ne pas commencer en dé-hypnotisant la super-héroïne Chance ?
La formule reste la même dans ce troisième tome de Chance et Celsius, un romanga des éditions Gulf Stream : du texte à la typographie variée entremêlé de petites planches de BD qui complètent l'histoire. Comme précédemment, je regrette que la balance penche côté texte plutôt que côté illustrations, mais les dessins interviennent quand même suffisamment souvent pour que ce soit sympa.
L'histoire est assez simple, mais même si on devine à l'avance certains rebondissements, le déroulé de l'action reste à découvrir, avec un très bon rythme. Ma jeune lectrice maison a trouvé le sujet (le jeu vidéo) moins intéressant que celui du premier tome(où on découvrait plein de pouvoirs différents), mais elle a dévoré le tome rapidement.
Idéal pour les lecteurs qui snot plus attirés par les mangas que par les romans, pour leur faire sauter le pas en douceur.
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