Le héros Seiya et ses compagnons repartent du domaine des dragons sans la précieuse épée qui aurait dû leur permettre de vaincre le démon en chef. Tant pis, le héros cherche déjà de nouvelles idées pour s'assurer la victoire.
Pas le temps de souffler, il faut voler au secours d'une cité attaquée par une armée de mouches géantes démoniques. Toujours prudent, Seiya préfère commencer par un entraînement préalable de quelques jours au domaine des dieux (une heure seulement en temps local). Il demande à Mitis, la déesse de l'arc, de parfaire ses compétences.
Apparition dans ce tome d'un nouveau personnage principal : le capitaine Rosalie, chevaleresse de l'empire de Rosegard. La guerrière est vraiment jolie et on se régale à la regarder, mais hélas c'est une tête brûlée qui agit et parle sans réfléchir, ce qui la rend finalement peu sympathique. Le fanservice est également révélé par l'obsession des gags sur la poitrine de la déesse Ristarte, mais surtout par la nymphomanie de Mitis, qui donne lieu à des scènes où elle bave d'envie à l'idée de sauter sur tout ce qui bouge. Bof bof, voilà qui ne donne pas très envie de mettre cetté série entre de jeunes mains.
On apprécie par contre le côté stragège du héros, qui reste imperturbable et semble avoir toujours un coup d'avance sur les autres, que ce soit dans les combats ou autres. Le cliffhanger final n'en est que plus réjouissant. Et laisse espérer un peu de variété, car il faut reconnaître qu'on commence à se lasser de schémas somme toute répétitifs.
Comme d'habitude, une histoire courte (uniquement textuelle) attend le lecteur sous la jaquette, pensez-y !
