Les Chroniques de l'Imaginaire

Mission : Yozakura Family (Mission : Yozakura Family - 5) - Gondaira, Hitsuji

Taiyô se rend à la Bibliothèque des défunts où règne en despote absolu Mei, la directrice à l’ouïe de cristal. Aucun bruit n’est autorisé dans la bibliothèque sous peine de sévices pouvant aller jusqu’à la mort. Alors qu’il cherche des renseignements sur ses parents, Taiyö découvre que ceux-ci ont été assassiné par Tanpopo.

Tanpopo est une organisation qui vise Mutsumi et elle a déjà assassiné la mère de la famille Yozakura. Le point commun entre la famille Zozakura et celle de Taiyö semble être Makoto Kawashital, le directeur d’une clinique privée. Taiyö et Mutsumi infiltrent donc la clinique pour essayer de trouver des indices ou des preuves de l’implication de Makoto dans des affaires criminelles. Alors que Mutsumi nourrit Taiyô à la cuillère, le jeune homme lui avoue qu’il préférerait que ce soit elle qui parte en premier quand ils seront vieux et à la retraite. Ce qui touche énormément la jeune fille.

Ils découvrent que Makoto travaille sur le Projet Somei Yoshino, basé sur une protéine contenue dans le sang de la famille Yozakura, et qui lui qui conférerait un gros avantage biologiquement parlant, au point d’être une substance dopante très convoitée…

Un peu plus tard on en apprend un peu plus sur Goliath, le chien de la famille, mais aussi sur l’existence des différents niveaux d’espions qui existent.

Encore un tome qui semble partir un peu dans tous les sens mais qui ouvre un nouvel arc avec l’organisation Tanpopo qui veut éliminer les Yozakura après avoir éliminé la famille de Taiyô.

J’ai particulièrement aimé découvrir quel type de chien était réellement Goliath, même si je me suis dit qu’un chien comme lui à la maison serait un peu épuisant (ben oui, les mille kilomètres de promenade quotidienne risquent d’être un peu chronophages). La journée que passe le jeune couple à l'aquarium est aussi un moment très sympa de ce volume, et change un peu des missions habituelles que doit effectuer Taiyô. On se rend compte à cette occasion qu'il prend très au sérieux la sécurité de sa femme, et qu'il a de profonds sentiments pour elle.

Un peu plus tard, dans un chapitre très drôle, on découvre la tendance au nudisme de Kengo, qui aime laisser respirer sa peau entre deux déguisements.

Je passe toujours un bon moment en compagnie de la famille Yozakura et c’est toujours un plaisir de les retrouver dans des aventures toujours loufoques.