Tsubaki et Ibuki continuent d’aller ensemble au cours de langue des signes, et Ibuki semble se rapprocher de Tsubaki, laissant la jeune fille un peu perplexe quant à ses intentions. Surtout quand il s'invite chez elle après les cours. Mais quand la jeune fille veut l’inviter à la fête de l’école, il décline, même s’il avait envie de passer un moment avec elle.
Plus tard, quand l’hiver arrive, une ancienne connaissance de Tsubaki vient lui rendre visite. C’est Shiori, la petite sœur d’une jeune femme malade que Tsubaki a connu à l’hôpital plusieurs années auparavant. Elles passent du temps ensemble, et quand Noël arrive, elles font un repas avec Ibuki et Shibasaki qui a avoué indirectement ses sentiments à Tsubaki, qui ne comprend pas que la jeune fille dont il est amoureux, c'est elle.
Ce quatrième tome est un peu brouillon. On passe rapidement de la fête de l’été à Noël, et entretemps les relations entre les jeunes gens ne semblent pas vraiment évoluer. L’autrice dit même que ces scènes de fêtes sont des passages obligés dans les romances, mais j’ai trouvé que c’était vraiment beaucoup trop rapide.
L’arrivée de Shiori nous permet de comprendre un peu plus Tsubaki, et nous montre combien elle est vulnérable à ce que les autres peuvent penser d’elle. Mais il y a beaucoup d’autres questions qui restent en suspens et on se demande à la fin de ce volume comment les relations entre tout le monde vont évoluer, beaucoup de sentiments différents sont en jeu.
A noter que ce tome a été réalisé pendant la pandémie, ce qui explique peut être que je le trouve moins bien que les précédents.
