Kido et Eight arrivent à se sortir in extremis d’un combat contre un énorme robot de fer qui gardait une des pièces secrètes de l’école. Grâce à Hideo, ils arrivent à s’enfuir et à regagner la relative sécurité du reste de l’école.
Peu après commence l’un des examens les plus difficiles concocté par les professeurs. Les équipes d’élèves reçoivent une pièce par membre de l’équipe, et ils ont sept jours pour en récupérer le maximum en combattant les autres équipes. Et tous les coups sont permis ! Après un début de compétition laborieux — ils ont un désavantage par rapport aux autres équipes, Kido étant un agent de terrain, elle n’a pas de pièce à elle et n’a pas le droit de transporter celles de ses co-équipiers —, Kido, Eight et Hideo arrivent tant bien que mal à récupérer les pièces d’une autre équipe.
Pour se reposer un peu, ils décident d’aller au cinéma. Car Eight vient de comprendre que Kido, qui n’a pas eu d’enfance normale, n’a jamais pu voir un seul film de sa vie…
Dans cet épisode, on découvre un tout petit pan de l’ancienne vie de Kido, et on comprend que Eight commence à sérieusement en pincer pour elle. C’est plutôt mignon à observer, et, comme d’habitude, Eight essaie de faire passer les besoins de Kido avant les siens.
L’ensemble du volume est rythmé par plusieurs scènes de combat, et le mangaka a voulu faire plaisir à son public en plaçant de plus en plus de petites culottes et/ou de vues sur l’anatomie avantageuse des demoiselles. Heureusement que l’ensemble demeure très drôle, car dans le cas contraire, je pense que je commencerais à saturer un peu. Mais je rappelle que je ne suis pas le public cible pour ce genre de manga, ce qui ne m’empêche pas de savourer les autres scènes qui comportent moins de fan service.