Tandis que l’œil de Kenotte continue de la démanger, l’arme d’Asa arbore un nouvel emblème et, avant de s’enfuir tous ensemble, Diego confie à Kenotte le coffre qui doit contenir le souvenir d’Irène et qu’ils viennent de récupérer. Mais ils ne sont pas seuls à chercher ce souvenir.
A la grande surprise du petit groupe, ils découvrent une arme jumelle à celle d’Asa, mais lors de leur tentative de fuite, elle est dérobée par Grimm. Diego fonce à la poursuite du voleur, suivi peu après par Asa qui confie Kenotte à Irène. Poursuivie par les sbires du conseil, Asa se retrouve une nouvelle fois chez Vangélia qui lui confie la vérité. L’Avatar existe bien, et son existence même est en perpétuel danger car le conseil et les oiseaux veulent s’en emparer.
Asa se lance alors à la recherche d’Irène…
Alors, ce résumé part un peu dans tous les sens, mais c’est exactement ce qui se passe dans ce volume. C’est rapide, violent, ça part dans tous les sens, mais le premier arc se termine en beauté. On a de la destruction, des morts, des changements et la découverte que le sac à dos et les chaussures de Kenotte parlent !
Au passage, bien joué à l’auteur, je n’avais pas vu venir le coup du dopplebanger, cela explique beaucoup de chose sur un personnage dont je ne dévoilerais pas le nom ici pour laisser le suspense aux lecteurs.
Comme pour les deux précédents volumes, le traits est toujours très bien maîtrisé, et certaines cases sont ultra détaillées, ce qui donne un belle profondeur à l’ambiance globale. Je suis un peu plus mitigée sur certaines scènes de combat, que je trouve parfois peu lisibles, mais cela ne gêne pas la lecture.
J’aime toujours autant le personnage de Kenotte, et j’attends la suite de l’histoire pour savoir où est le père d’Asa !