Les Chroniques de l'Imaginaire

The eminence in shadow (The eminence in shadow - 6) - Aizawa, Daisuke & Sakano, Anri

Toujours sous le nom de Michael Conk, Cid continue de ridiculiser les adversaires du tournoi. Il feint un éternuement pour de débarrasser d’un magelame avec 4300 points en attaque, et continue sur sa lancée dans ses autres affrontements, défaisant un par un ceux qu’il affronte. La colère gronde contre lui d’autant plus qu’il gagne la plupart du temps avec une seule attaque et qu’il prend toujours soin de faire croire que c’est par hasard.

En parallèle, tout le monde recherche la princesse Rose Oriana qui a trouvé refuge dans les égouts. C’est Cid qui finit par la dénicher, en l’attirant avec La Sonate au Clair de Lune, de Beethoven. A cette occasion on apprend qu’il a appris à jouer du piano tout petit et que c’est un morceau qu’il adore car il convient bien à une éminence de l’ombre. Il a aussi enseigné ce morceau à Epsilon, ainsi que quelques autres, et celle-ci en profite pour infiltrer certains milieux en se faisant passer pour une grande compositrice.

Grâce à son mana, Cid rend Rose plus forte, et la jeune fille décide de reprendre son destin en main. Avec violence. Et sans merci.

Quelques combats, toujours de l’humour, on apprend quelques bribes du passé de Cid où on comprend qu’il a toujours énormément travaillé pour obtenir ce qu’il désirait. Un tome un peu moins cliché que le précédent, mais toujours avec des malentendus et des fausses idées que Cid sème autour de lui.

Les apparitions de Shadow ont toujours une très belle mise en scène, et cela donne des illustrations très dynamiques.