Pendant que Sang-wook et Eun-Yo arrivent à éliminer l’un des plus petits monstres en l’aspergeant d’un liquide inflammable et en l’embrasant, Hyeon-Su va prendre son tour de garde après Ji-Su Yoon. Les deux jeunes gens discutent et apprennent un peu à se connaître.
Quand Du-Shik, le bricoleur unijambiste, arrange leurs armes, se pose alors la question essentielle : tenter de sortir et de trouver un endroit plus en sécurité, ou rester dans l’immeuble et rechercher les survivants afin de s’organiser ? Ils décident de chercher d’autres humains dans l’immeuble, et découvrent un petit groupe qui a élu domicile au rez-de-chaussée.
Tout à coup, on retrouve Hyeon-Su allongé sur un lit d’hôpital, et on comprend que la scène a eu lieu juste après l’accident qui a coûté la vie à ses parents. On assiste alors à un retour dans le passé, où on voit la dispute qui s’est déroulée dans la voiture, alors que la famille partait en vacances, et qui est à l’origine du drame. Hyeon-Su s’en veut terriblement depuis cet événement.
Mais est-ce que ce sont vraiment les souvenirs de Hyeon-Su que l’on vient de voir ? Ou bien est-ce que c’est un rêve ?
Le retour à la réalité est rude. Comme certains des survivants souhaitent jeter Hyeon-Su dehors car il est infecté, un vote est organisé. Va-t-il pouvoir rester dans l’immeuble, ou sera-t-il obligé de partir ?
J’avoue que je suis assez déconcertée par la partie rêve/réalité. Impossible de savoir ce qu’il en est vraiment, si ce sont des souvenirs, des souvenirs induits, ou le résultat du travail de sape du monstre tapi en lui ? Hyeon-Su se révèle très fort face à la menace tapie à l’intérieur de son corps et on croise les doigts pour qu’il ne se transforme pas.
Le rythme est toujours lent, avec quelques scènes clé disséminées ça et là, mais on se demande toujours comment tout ceci va se terminer. Hyeon-Su arrivera-t-il à se sauver et à sauver les enfants ? Ou sera-t-il contraint à un choix atroce ?
Cette page est une version simplifiée pour les robots. Pour profiter d'une version humaine plus conviviale, cliquez ici.
