Après avoir médité sous une cascade d’eau glacée, la petite troupe décide de se rendre à Osaka, où une entreprise de biotechnologie tentait, il y a quelques mois, de créer un vaccin contre la pandémie zombie. Ils font une pause à Niigata, un endroit réputé pour sa production de riz et où se trouvent des dizaines de bars à saké. Ils découvrent alors une brasserie pleine d’ivrognes et font la connaissance d’une guide des brasseries de saké.
Ils décident de se joindre aux fêtards, et tandis que les filles dégustent leur saké en profitant du moindre arômes, les garçons, eux, discutent avec les joyeux drilles alcoolisés et se rendent très vite compte que l’un d’entre eux vient d’être mordu par un zombie. La brasserie se transforme alors en zone contaminée, et tout le groupe plonge dans une cuve de saké.
L’un des objectifs d’Akira étant de trouver un fossile de dinosaure, la petite troupe décide donc de faire escale au musée des dinosaures où se trouve aussi un site de fouille que toute la petite troupe décide d’explorer. Alors qu’ils sont dans le musée, les zombies s’en mêlent…
Plus tard, Akira est pris d’un ennui profond et ne comprend pas pourquoi il n’est plus motivé par sa liste qui, jusque-là, l’enchantait.
Après déjà pas mal d’aventures et de découvertes, Akira est soudainement pris de mélancolie. Après tout c’est assez normal, c’est un contrecoup de ce qu’il a pu vivre depuis sa démission et l’invasion zombie qui a suivi et même si il est entouré d’amis il a besoin de ce petit décrochage pour repartir vers l’avant.
Loin d’être lassant, ce huitième tome nous montre encore que même si pas mal d’items de la liste d’Akira et de ses amis sont cochés, il leur en reste beaucoup à faire. Aussi simple que de manger du crabe ou boire du saké, ou un peu plus difficile comme trouver un fossile, ce qui sera une grande source de frustration pour Akira.
C’est toujours un plaisir de retrouver Akira, car on est toujours surpris par ce qu’il a envie de faire, et toutes les aventures du petit groupe ont un côté comique qui allège le côté zombie. J’aime toujours autant.
