Branle-bas de combat dans l’armée et la police ! Nelson Bamberg, le bras droit de l’infâme « Evariste le Juste », s’est évadé et tout porte à croire qu’il va tenter de faire évader son idole. Et Ilona a reçu l’ordre de ne pas s’en mêler, même si son propre père est chargé de l’enquête.
Cela agace beaucoup la jeune fille, d’autant plus que lors de l’inauguration du Muséum des Arts et Civilisations du monde, une institution créée par Bonaparte, un attentat est commis, détruisant une inestimable œuvre d’art et blessant le célébrissime empereur au passage. Ilona rêve de participer à l’enquête mais on lui interdit. Elle trouve cela très injuste, d’autant plus qu’elle est la seule à avoir remarqué quelques détails qui pourraient mettre les autorités sur la piste de Nelson…
Un second tome tout aussi déjanté que le premier, avec toujours beaucoup d’humour et d’idée farfelues de la part d’Ilona, évidemment accompagnée de ses Zéros de l’histoire. On apprend d’ailleurs qu’Hannibal a été adopté par la mère d’Ilona, devenant ainsi son petit frère. Un petit frère assez irascible mais très attachant dans le fond.
Avec plein de rebondissements, de course poursuite mais surtout la découverte des Super Vilains de l’histoire qui sont très connus pour ne pas être tendres ou accommodants, ce second tome d’Ilona Melville continue de tenir les promesses du premier, c’est-à-dire beaucoup s’amuser en lisant. Et accessoirement apprendre quelques trucs sur des personnages historiques qui ont réellement existé !
Une série que je prend beaucoup de plaisir à lire !
