Les Chroniques de l'Imaginaire

Mission : Yozakura Family (Mission : Yozakura Family - 13) - Gondaira, Hitsuji

Une partie de la famille visite le manoir Ninomae, qui était la résidence de la seconde chef de famille. Le manoir est considéré comme hanté, et certains membres de la famille sont donc un peu nerveux lors de la visite. Alors quand Shinzô disparait, ils sont tous à fond pour le retrouver, ce qui s'avère assez rapide.

C’est alors qu’ils découvrent une pièce secrète dans laquelle se tient Dame Ninomae, qui est la fille de Tsubomi, la première chef de la maison Yozakura. Très vite la rencontre tourne à l’affrontement, Ninomae estimant que les descendants de Tsubomi ne sont pas dignes d’elle. Et la pièce secrète n’est qu’un immense piège où des humains sont en train d’être vidés de leur fluide vital. Devant la résistance de la fratrie, Ninomae décide d’abandonner le combat et la maison et disparait.

C’est alors que Mutsumi décide de retrouver le journal de Ninomae qui se trouve quelque part… dans la maison familiale. C’est donc l’heure du grand ménage et chacun doit trier, ranger et surtout se débarrasser de ce qui encombre la maison… au grand dam de Kyôichirô qui se voit privé de sa collection personnelle qui concerne sa sœur.

Plus tard, la famille se rend dans l’usine de textile appartenant à la famille et qui a connu son heure de gloire sous l’égide de la grande courtisane Itsuwa, qui fut la cinquième chef de la famille.

Un tome 13 riches en rebondissements et en révélations sur le passé des anciennes chef de la famille. Toutes ne sont pas prêtes à vouloir rester en vie à tout prix, mais la puissance de chacune est difficile à appréhender. Heureusement que la cohésion familiale joue à fond, même si le dernier chapitre montre que les chamailleries font partie de leur quotidien, ce qui les rends encore plus drôles et sympathiques.

La fin du volume nous promet le début d’un nouvel arc dans les prochains chapitres et j’ai très hâte de le découvrir. Cette série, loin de s’essouffler, reste toujours un régal à lire.