Les combats font toujours rage et les bêtes échappées de l’enfer sont de plus en plus féroces et sanguinaires. Dorshe se dresse entre elles et la reine Hiling, mais au fur et à mesure que le combat s’intensifie, le fidèle chevalier voit les blessures se multiplier sur son corps qui commence à fatiguer.
C’est alors que Mitsumata, le serpent gardien des enfers qui a été épargné par Boji, surgit et fait basculer le destin du combat. Mais lui aussi est gravement blessé durant les affrontements, et la reine Hiling doit alors soigner Dorshe et le serpent, puisant dans toutes ses réserves de potions et sa puissance de soin.
Ce tome sept est, tout comme le six, riche en combats et en rebondissements. On y découvre toute la puissance de guérison de la reine Hiling, mais aussi une des bottes secrètes de combat qui a été enseigné à Boji, et qui va bien lui servir !
On découvre aussi comment Miranjo avait réussi à prendre l’ascendant à la cour, jusqu’à l’arrivée de Hiling qui relègue le miroir très loin de ses appartements. Provoquant ainsi l’ire de Miranjo et sans doute son désir de vengeance.
En bonus, on suit Hokuro à ses débuts comme soldat au château, et comment il a décidé de servir Boji de toutes ses forces quand il a découvert combien le petit garçon semblait apeuré par tous les adultes qui l’entouraient, hormis dame Hiling.
C’était avec une pointe d’appréhension que j’avais ouvert ce tome, la situation finale du précédent étant très périlleuse, mais j’ai une fois de plus apprécié de suivre les aventures de Boji qui se révèle, dans ce tome, tout à fait royal dans ses décisions et son attitude. Vivement la suite !