Mao Mao et son amie Shaolan se retrouvent à travailler dans les bains publics du palais sur les conseils de Shisui l’entomologiste. En effet, Shaolan aimerait réussir à se faire des relations afin de trouver un travail quand son contrat sera terminé. Et l’échéance est dans seulement six mois ! Les deux jeunes filles s’occupent donc des concubines qui souhaitent un massage, dans l’espoir que Shaolan s’attire les bonnes grâce de l’une d’entre elle.
Pour aider dame Gyokuyo dont la grossesse se complique, Mao Mao doit faire appel à son père, lui qui a été chassé des années auparavant de la cour intérieure. Mais elle n’a pas le choix pour aider la concubine. Et c’est avec beaucoup de précautions qu’elle arrive à le convaincre de venir aider la favorite.
C’est alors que Mao Mao disparait. Jinshi se lance alors à la poursuite de la jeune fille, et dévoile à tous qui il est vraiment.
C’est toujours un plaisir de retrouver les aventures de Mao Mao, surtout quand on découvre que l’histoire du roman dépasse celle du manga.
On découvre enfin qui est réellement Jinshi, même si beaucoup d’indices avaient déjà été semés, et on découvre surtout son côté opiniâtre à la recherche de l’apothicaire. Mao Mao, quant à elle, reste fidèle à elle-même, et cherche toujours à tirer le meilleur parti des situations périlleuses dans lesquelles elle est impliquée.
Et pour le coup, c’est un vrai sac de nœuds qu’elle découvre, avec une morte revenue parmi les vivants, une concubine disparue, puis retrouvée sous d’autres traits, bref, chaque chapitre apporte son lot de rebondissements et d’intrigues.
Quand on referme ce tome, on n’a qu’une envie, lire la suite des aventures de Mao Mao qui a enfin quitté la cour impériale et revient dans le quartier des plaisirs.